| Genre | reggae, world, Canadian, francophone, quebec |
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« Etrange » comme nom ? Dobacaracol ne fait que combiner les noms des deux chanteuses. Mais le mélange promet le succès et des titres qui caracolent en tête des hits-parades.
Le groupe naît en 1998, de la rencontre entre Doriane Fabreg, alias Doba, et de Carole Facal, alias Caracol, au cours d’une rave. L’endroit ne correspond pas au cliché du coup de foudre, mais il a pourtant lieu. Aussitôt, l’aventure musicale commence. Les deux voix se mêlent aux percussions et chantent l’Afrique, l’Amérique du sud ou l’Europe traditionnelles. Leur voyage musical passe par toutes les cultures.
En 2002, Dorianne et Carole, Doba et Caracol, s’entourent de quatre musiciens. Le français, dans les arrangements originaux, les influences diverses et les voix douces, subtiles, presque parentes parfois, ne dénote pas. Les sonorités étrangères le mettent en valeur en lui apportant du relief. L’alliance de modernité et de tradition monte sur la scène des Francofolies de La Rochelle et participe à divers autres festival, notamment à Montréal ou en Louisiane. Le coup de cœur francophone assure aussi des premières parties d’envergure : Tryo, La Rue Ketanou ou Alpha Blondy. Elles font aussi les choristes pour des artistes internationaux, notamment pour Junior Marvin, de Bob Marley & The Wailers. Des Seychelles à la Côte d’Ivoire, en passant par les Etats-Unis, le bagage de cultures brassées forme sa jeunesse autour du globe et continue à amasser les inspirations musicales.
En 2004, « Soley » sort. Le groupe a « le feu du volcan » et « la chaleur du désert ». Tout naturellement, son disque doit se prononcer « Soleil ». L’album, d’une grande sensibilité, s’ouvre à d’autres sons en invitant de nombreux musiciens et du violon, de la clarinette ou de la vielle à roue !
Les deux autodidactes, dans cet opus ensoleillé, à la fraîcheur parfois mélancolique, délivrent leur « baiser salé ». Dans cet album, mouillé de larmes et d’eau de mer, on entend les voyages de Dorianne et son goût pour les percus et les chants d’autres rivages. On y entend aussi l’écriture sensible de Carole. Avec Maxime Lepage, le bassiste, Martin Lizotte, aux claviers, Mohammed « Momo » Coulibaly, le batteur ivoirien de Tiken Jah Fakoly, et Maxime Audet-Halde, aux guitares acoustiques, classiques ou électriques, Dobacarole, chaleureusement accueilli par les médias, pourrait bien finir au zénith.
En septembre 2008, Caracol (Carole Facal) lance un premier album solo, "L'arbre aux parfums", paru sur étiquette Indica. Son nouveau site web: www.caracolmusique.com et www.myspace.com/caracolmusique
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« Etrange » comme nom ? Dobacaracol ne fait que combiner les noms des deux chanteuses. Mais le mélange promet le succès et des titres qui caracolent en tête des hits-parades.
Le groupe naît en 1998, de la rencontre entre Doriane Fabreg, alias Doba, et de Carole Facal, alias Caracol, au cours d’une rave. L’endroit ne correspond pas au cliché du coup de foudre, mais il a pourtant lieu. Aussitôt, l’aventure musicale commence. Les deux voix se mêlent aux percussions et chantent l’Afrique, l’Amérique du sud ou l’Europe traditionnelles. Leur voyage musical passe par toutes les cultures.
En 2002, Dorianne et Carole, Doba et Caracol, s’entourent de quatre musiciens. Le français, dans les arrangements originaux, les influences diverses et les voix douces, subtiles, presque parentes parfois, ne dénote pas. Les sonorités étrangères le mettent en valeur en lui apportant du relief. L’alliance de modernité et de tradition monte sur la scène des Francofolies de La Rochelle et participe à divers autres festival, notamment à Montréal ou en Louisiane. Le coup de cœur francophone assure aussi des premières parties d’envergure : Tryo, La Rue Ketanou ou Alpha Blondy. Elles font aussi les choristes pour des artistes internationaux, notamment pour Junior Marvin, de Bob Marley & The Wailers. Des Seychelles à la Côte d’Ivoire, en passant par les Etats-Unis, le bagage de cultures brassées forme sa jeunesse autour du globe et continue à amasser les inspirations musicales.
En 2004, « Soley » sort. Le groupe a « le feu du volcan » et « la chaleur du désert ». Tout naturellement, son disque doit se prononcer « Soleil ». L’album, d’une grande sensibilité, s’ouvre à d’autres sons en invitant de nombreux musiciens et du violon, de la clarinette ou de la vielle à roue !
Les deux autodidactes, dans cet opus ensoleillé, à la fraîcheur parfois mélancolique, délivrent leur « baiser salé ». Dans cet album, mouillé de larmes et d’eau de mer, on entend les voyages de Dorianne et son goût pour les percus et les chants d’autres rivages. On y entend aussi l’écriture sensible de Carole. Avec Maxime Lepage, le bassiste, Martin Lizotte, aux claviers, Mohammed « Momo » Coulibaly, le batteur ivoirien de Tiken Jah Fakoly, et Maxime Audet-Halde, aux guitares acoustiques, classiques ou électriques, Dobacarole, chaleureusement accueilli par les médias, pourrait bien finir au zénith.
En septembre 2008, Caracol (Carole Facal) lance un premier album solo, "L'arbre aux parfums", paru sur étiquette Indica. Son nouveau site web: www.caracolmusique.com et www.myspace.com/caracolmusique
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