
02 juin 2015
À l'aube d'une saison douce qui les mènera sur les scènes de grands événements culturels — celle du Festival international de Jazz de Montréal et du nouveau et imposant St-Jérôme Folk, notamment —, donnant suite à une première printanière saluée à l'unisson, les deux COCO MÉLIÈS lancent « Paper Plane » — disponible dèsaujourd'hui sur iTunes —, une chanson inédite, un vibrant « B-Side » revisité qui, jusqu’ici uniquement joué sur scène, a chaque fois suscité l’émotion.
Sur les notes rythmiques de la guitare acoustique, les voix de la paire, belles, s'élèvent en parfait accord. Et alors que les mains claquent et que le banjo bat la mesure, sautillante mélodie métallique, on sent poindre à l'horizon l'aube d'un refrain lumineux.
Our heads on the pillow
Catching up sun trough the window
Is it about the story when
We did grow older
Dont you worry when
The tic of the clock get stuck
Hands are tight together
Like rows and rows of house's
And one of them
You can call it home
Décuplés les choeurs touchent, droit au coeur, et les mots s'imprègnent, comme autant d'images de cet amour rare, sincère et véritable, que l'on dit inconditionnel.
Sur les notes rythmiques de la guitare acoustique, les voix de la paire, belles, s'élèvent en parfait accord. Et alors que les mains claquent et que le banjo bat la mesure, sautillante mélodie métallique, on sent poindre à l'horizon l'aube d'un refrain lumineux.
Our heads on the pillow
Catching up sun trough the window
Is it about the story when
We did grow older
Dont you worry when
The tic of the clock get stuck
Hands are tight together
Like rows and rows of house's
And one of them
You can call it home
Décuplés les choeurs touchent, droit au coeur, et les mots s'imprègnent, comme autant d'images de cet amour rare, sincère et véritable, que l'on dit inconditionnel.
COCO MÉLIÈS, EN SPECTACLE...
4 JUILLET | FESTIVAL INTERNATIONAL DE JAZZ DE MONTRÉAL
15 JUILLET | KIOSQUE À MUSIQUE (PARC EMPIRE), LONGUEUIL
8 AOÛT | ST-JÉRÔME FOLK
COCO MÉLIÈS
Avec The Walking Birds, son tout premier EP, COCO MÉLIÈS a vogué du Canada à la France, puis du Québec aux États-Unis. Après deux années écoulées à écumer les scènes d'ici et d'ailleurs, les deux jetaient l'ancre à Montréal pour y lancer un premier long jeu, Lighthouse — paru sous étiquette Costume Records en septembre dernier.
Co-réalisation de Robbie Kuster — reconnu notamment pour sa collaboration avec Patrick Watson —, à laquelle ont contribué François Lafontaine (Karkwa, Marie-Pierre Arthur, Galaxie), Pietro Amato (The Luyas, Arcade Fire, Bell Orchestre) et Mathieu Pontbriand (Pawa Up First), l'album se révélait d'une beauté trouble, oscillant « entre deux pôles, celui plus sombre d'une tortueuses plongée dans les méandres de la quête de soi comme Someway, et celui plus guilleret d'un refrain tout en onomatopées comme Home, tube en devenir à classer aux côtés des récents succès des Lumineers et de Mumford & Sons » — La Tribune. Une oeuvre « phare » ; la matérialisation de la symbiose de deux univers, de deux voix, celles de David Méliès et de Francesca Como.
COCO MÉLIÈS
Avec The Walking Birds, son tout premier EP, COCO MÉLIÈS a vogué du Canada à la France, puis du Québec aux États-Unis. Après deux années écoulées à écumer les scènes d'ici et d'ailleurs, les deux jetaient l'ancre à Montréal pour y lancer un premier long jeu, Lighthouse — paru sous étiquette Costume Records en septembre dernier.
Co-réalisation de Robbie Kuster — reconnu notamment pour sa collaboration avec Patrick Watson —, à laquelle ont contribué François Lafontaine (Karkwa, Marie-Pierre Arthur, Galaxie), Pietro Amato (The Luyas, Arcade Fire, Bell Orchestre) et Mathieu Pontbriand (Pawa Up First), l'album se révélait d'une beauté trouble, oscillant « entre deux pôles, celui plus sombre d'une tortueuses plongée dans les méandres de la quête de soi comme Someway, et celui plus guilleret d'un refrain tout en onomatopées comme Home, tube en devenir à classer aux côtés des récents succès des Lumineers et de Mumford & Sons » — La Tribune. Une oeuvre « phare » ; la matérialisation de la symbiose de deux univers, de deux voix, celles de David Méliès et de Francesca Como.